«Je raconte ici l'histoire d'un petit
nombre d'hommes qui, poussés par les
événements, ne se hissaient point à leur
portée.
Avant de rejoindre le monde des esprits,
François-le-Grand avait estimé que
ses successeurs ne seraient au mieux que
des comptables ; c'était vrai : le règne de
Nicolas-le-Mauvais puis celui de François-le-Petit
avaient tourné aux calculs, à la
combine, aux querelles de coteries.
Ces parvenus avaient ennuyé le peuple,
ils l'avaient trompé, maintenant ils l'exaspéraient.»