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François Mauriac reste toujours où on ne l'attend pas. Il écrivait en 1962, après avoir stigmatisé l'érotisme pictural de Leonor Fini : « Je suis plein d'humilité, car en art j'ai des idées de l'autre monde, on s'en doute. » Il ne cessa d'évoquer au fil de sa plume romanesque et journalistique le monde des arts. Se dégage de ses écrits le portrait d'un homme qui s'intéressa à l'univers créatif auquel il participait en acteur et en juge, le verbe libre. De Chagall à Zadkine, via Picasso ; de Jacques Chazot à Zizi Jeanmaire ; de Brigitte Bardot à Salvatore Adamo, via Johnny Hallyday, il bifurqua. Sans jamais perdre de vue son projet, vital : la vérité.