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"Anna Mayrs Furor ist wichtig." (Christian Baron, Der Freitag) Nach ihrer Streitschrift 'Die Elenden' schreibt sie radikal persönlich über das Thema Geld und die innere Zerrissenheit angesichts ihrer eigenen Verschwendung.
Geld gab es in ihrer Familie immer zu wenig. Als Kind fragte sie sich deshalb, wie manche achtlos hunderte Euro für Taschen, Schuhe, Steaks ausgeben können, während es gleichzeitig so viele Menschen gibt, für die 100 Euro ein kleines Vermögen sind. Inzwischen ist sie selbst eine von denen geworden, die verschwenderisch Geld ausgeben: 60 Euro für einen Skipass, 225 Euro für eine Katzentherapeutin, 748 Euro für ein Brautkleid. Immer noch rechnet sie die Beträge beim Bezahlen in Hartz-IV-Regelsätze um. Ganz offen erzählt Anna Mayr von ihrer eigenen Bürgerlichwerdung. Doch je willkürlicher die Summen werden, die sie bereit ist zu zahlen, desto mehr sehnt sie sich nach einer Handlungsoption, nach einem Ausweg aus der Zerrissenheit. Wie hält man das Leben aus, wenn man sich selbst am liebsten enteignen würde?