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« C’était à Saint-Elier-le-Joly, dans le Bas-Maine, pays secret, rusé et méfiant, que l’Administration nomme la Mayenne. A trois champs de chez nous, mon grand-père Alphonse exploitait une fermette sur mesure pour grands-parents et petits-enfants. J’ai tenté ici de faire revivre les histoires du temps comme il disait, histoires qu’il me racontait à la vesprée, au cul du tonneau de poiré ou sous le sureau en fleurs, relais assuré plus tard par mon père et ma tante Victorine. C’était un monde de haies touffues et de chemins creux, de joie de vivre et de mort mêlées, pour poètes en herbe et revenants ! Mais cherchez loin de la grand’route... Ce pays têtu et rugueux, au goût de mêle et de blé noir, vit toujours, enraciné autour de ses derniers pommiers, de ses derniers poiriers à cidre. »