Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Placé sous le signe de Segalen auquel il emprunte son titre, « Hommes continuels » est un ensemble de poèmes en prose qui se réclame de l’esthétique du divers chère à cet auteur. Depuis ses premiers recueils, Jean Orizet est un poète qui déchiffre la jungle de l’inconnaissable. Chez lui, le regard est net, acéré ; il pénètre toutes les structures, catalyse toutes les possibilités. Glanés sur la surface de la planète, les poèmes d’Orizet sont ceux d’un bourlingueur en quête de pureté. Le poète observe et subit les impacts de l’Histoire, capte le rayonnement de l’espace comme l’éclat d’un brin d’herbe après la pluie. Macrocosme et microcosme se côtoient sans cesse, s’interpénètrent, se répondent. Pour Orizet, l’univers est un et indivisible, non pas comme un questionnement, mais comme une mémoire en devenir. La poésie d’Orizet est on ne peut plus actuelle. Elle reflète l’événement cosmique dans toute son amplitude, sans jamais occulter la vie ni le quotidien. Avec son lyrisme contenu, elle se veut un grimoire nécessaire à l’enchantement et à l’épanouissement de la sensibilité et cherche, contre vents et marées, à garder « l’esprit d’enfance ».