Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Franz Kafka wollte im unvollendet gebliebenen Roman "Das Schloß" seinen Landvermesser K. nach all den vergeblichen Versuchen, ins Schloß zu gelangen, an Entkräftung sterben lassen. Die österreichische Schriftstellerin Marianne Gruber hat dies nicht zur Ruhe kommen lassen. Sie schreibt "Das Schloß" in ihrer Auslegung zu Ende, oder besser: sie benützt Kafkas Roman als Hintergrund und Folie für ihren Text. Vor unseren Augen läßt sie K. wieder auferstehen. Als seinen eigenen Wieder- oder Doppelgänger schickt sie ihn noch einmal auf den Weg, der bei ihr bis ins Schloß hinein führt. Sehr zum Entsetzen des Dorfes und seiner Bewohner, die ihre Ruhe und Ordnung gestört sehen.Steht bei Kafka das Schloß metaphysisch für das Absolute, zu dem der Mensch keinen Zugang findet, so ist Marianne Grubers Roman, den man übrigens auch ohne Kenntnis Kafkas lesen kann, die psychologische Kehrseite der Medaille: Was steckt hinter dem Schloß? Was steckt hinter dem Hang der Menschen, sich der Herrschaft des Schlosses fraglos zu unterstellen, obwohl sie nicht wissen, von wem oder was es bewohnt ist? Was steckt vor allem dahinter, daß sie das gar nicht wissen wollen?So kann der Roman "Ins Schloß" als große Metapher der Auseinandersetzung zwischen den bewahrenden, reaktionären Kräften des "Dorfes" und dem aufklärerischen, zersetzenden "fremden" Blick gelesen werden. Und da es darin meistens schneit und da es auch um die Liebe in den Zeiten der Kälte geht, ist der Roman nicht zuletzt ein wunderbar hintergründiges modernes Wintermärchen.