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Kafka a écrit des centaines de lettres à Milena Jesenská, jeune femme prodige de 24 ans qu’il appelait son « feu vivant », morte en déportation à 44 ans. Fille unique d’un éminent chirurgien, qui la fait interner après une liaison et un avortement, Milena se marie pour se libérer de l’emprise de son père, puis se met à écrire et traduire pour s’émanciper de son mari. Curieuse, gourmande, facétieuse, vivante – par-dessus tout vivante –, passionnément amoureuse, elle est dépendante des mots de Kafka comme des drogues expérimentées à l’adolescence. Réécriture (apocryphe) des courriers de Milena, qui n’ont jamais été retrouvés, ce texte exprime le désir avec tant de puissance qu’il redonne vie au grand amour de Kafka. Marquée par cette rage de lettres insensée, la passion de Franz et Milena peut-elle vaincre, au-delà de leurs fragilités et privations communes, « les frontières, les guerres, le temps, les visas, la maladie, la mort » ?
Marie-Philippe Joncheray s’est glissée dans les interstices de la correspondance, intense et nourrie, entre Franz et Milena, de 1920, date à laquelle Milena commence à traduire des nouvelles de Kafka, à 1922, lorsqu’elle comprend que cette relation ne sera jamais que de papier.