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Jeudi noir : très vite, tout le monde – banquier de Wall Street, fermier de l’Arizona, ouvrier berlinois, commerçant parisien-a su que le 24 octobre 1929 serait un jour noir que l’Histoire n’oublierait pas. En 104 minutes, un cyclone de ventes bouleversait la Bourse de New York qui, à 10 h 30 encore, ne donnait aucun signe de nervosité. Une panique hystérique secouait la Bourse, provoquait des suicides, éliminait d’immenses fortunes, ébranlait l’Amérique d’abord, puis le monde et se terminait dans le sang et les larmes de la Deuxième Guerre mondiale. C’est cette catastrophe, reconstituée grâce à des témoignages recueillis et des documents découverts aux États-Unis, que Fernand Gigon relate dans Jeudi noir. Il existe des milliers d’ouvrages sur ce krach et la grande dépression qui s’ensuivit, mais presque tous parlent chiffres ou statistiques. L’homme y est oublié. Fernand Gigon, au contraire, a placé les témoins au centre de son récit. Il décrit minute par minute la chute de la Bourse du pays le plus puissant de l’univers. C’est un monde hallucinant qui révèle les pires inconséquences des hommes. Le président de la Bourse n’a-t-il pas séjourné à Sing Sing ? D’autres banquiers, héros de la colossale fortune américaine, n’ont-ils pas été convoqués devant des cours de justice, puis condamnés, puis humiliés ? A chaque page, il fait surgir le visage de la crise : l’incroyable — même dans la misère — est toujours présent. Son récit fascine. Il raconte et explique. On ne peut, découvrant ce passé, que songer à ce qui pourrait arriver aujourd’hui.