
Quand il est arrivé à Paris, Koudelka avait déjà réalisé deux
reportages de première importance. L'un montrait le Printemps de
Prague ; on aurait pu qualifier l'autre d'ethnologique si ses images
de Gitans n'avaient été aussi chargées d'émotion.
Inconnu en 1970, il était déjà l'un des photographes les plus puissants
de son temps. Ce livre prouve que, dans ces terres d'exil qu'il parcourt
avec la rage de voir qui est la sienne, le talent si particulier
de Koudelka s'est définitivement affirmé et épanoui.
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