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Italienkennern fällt "das Italienische" Münchens bei einem Spaziergang sofort ins Auge. Es reicht von den Brunnenfiguren in der Münchner Residenz über die "Alte Münze" und die Theatinerkirche bis zu den architektonischen Hinterlassenschaften König Ludwigs I. Künstler waren freilich keineswegs die einzigen, die es über die Alpen zog; Kurfürst Ferdinand Maria heiratete mit Henriette Adelaide eine savoyische Prinzessin, Adlige vom Apennin prägten den Münchner Hof und schrieben sich in die Stadttopographie ein: Ihre prächtigen Palais zeugen hiervon ebenso wie die Namen der Arco-, Maffei- und Spretistraße.Ob Adlige, Künstler oder Militärs, die es im 17. und 18. Jahrhundert nach Bayern zog: Sie alle waren davon motiviert, fern ihrer ursprünglichen Heimat ein (zumindest zeitweises) Auskommen an einem Hof nördlich der Alpen zu finden. Der Band fragt danach, welche Instanzen und Personen hierbei eine vermittelnde Rolle einnahmen, welche Karrieresprungbretter die Akteure nutzten und welche Faktoren ausschlaggebend waren, ob es nur zu einem kurzfristigen Aufenthalt kam, ob sie zeitlich begrenzt oder - wie Hieronymus Graf von Spreti - dauerhaft in Bayern Fuß fassten.