
J'ai eu une grosse période « Osamu Dazai(...) », il y a quelques années. Les gens le qualifient de pessimiste et de lunatique, alors que je décèle plutôt en lui un véritable amour du genre humain, et une profonde sensibilité qui le rend perméable à toute la détresse du monde. Mais cette sensibilité à fleur de peau était à double tranchant. Et s'il s'en servait pour y puiser son inspiration, elle le condamnait parfois à des errances sans fin. Qu'en pensez-vous, chers lecteurs ?
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