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Hans Vervoort (1939) behoort tot de allerlaatste generatie Nederlanders die opgroeide in Nederlands-Indië. In 'Kind van de Oost' haalt hij herinneringen op aan zijn jeugd. Hij schrijft over de kamptijd, de lagere school, de eerste jaren van de hbs, zijn eerste verliefdheid. Een jeugd in roerige tijden, maar 'Kind van de Oost' bewijst dat dat geen ongelukkige jeugd hoeft te zijn. Ook schrijft Vervoort over zijn weerzien met Indonesië na jaren van heimwee en verlangen en over ervaringen van andere kinderen van de Oost.
'Ik beschouw Vervoort als een van de weinige schrijvers die zijn kampervaringen tot literatuur heeft weten te maken.' (Rudy Kousbroek)
'Vervoort schrijft realistisch proza, overigens van een heel verfijnde en zuinige soort, met veel speelsheid en lichte ironie.' (Kees Fens)
'Over de wederwaardigheden van Nederlandse kinderen in Japanse interneringskampen heeft Hans Vervoort het mooiste stukje proza geschreven dat ik over het onderwerp ken.' (Jeroen Brouwers)