Pour Simon Steiner, revenir à Kyoto, c'est
retrouver les lieux du bonheur enfui. Sa vie
ne se ressemble plus, pourtant ici tout
demeure inchangé. Il déambule, entre mélancolie
et ravissement, dans la douceur apaisante
des souvenirs et des paysages. Un
pèlerinage japonais sur la trace des absentes,
au fil des temples, des ruelles et des bars.