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Es casi imposible resumir la vida del escritor e intelectual Jorge Semprún (Madrid, 1923-París, 2011), pero hay dos rasgos en los que él mismo siempre vio definida su existencia: ex deportado de Buchenwald y rojo español. En esta obra, Felipe Nieto se centra en uno de los momentos más fascinantes de la aventura vital de Semprún: los años de peligrosa actividad clandestina en la España de Franco, vividos bajo diferentes alias (entre ellos el de Federico Sánchez, nombre de perfiles novelescos, inasible para la policía franquista). Para poner en práctica y desarrollar la política del Partido Comunista de España, a partir de 1953 Semprún entra clandestinamente en España en numerosas ocasiones a fin de involucrar a los sectores intelectuales y universitarios en la lucha contra la dictadura. Sin embargo, en los años sesenta empieza a mostrar sus dudas acerca de la política y los métodos que el PCE emplea en España. Y en sus últimos años de clandestinidad, con El largo viaje (1963), inicia una de las andaduras literarias y memorialísticas más fascinantes del siglo XX.