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Dans la première partie, « Pour une ballade du temps passé », Jean Davray, jeune écrivain de 27 ans, familier de quelques-uns des auteurs qu’il admire : Bergson, Mauriac, Gide, Martin-du-Gard, relate l’éblouissement de ses vingt ans et sa joie quotidienne de vivre une des grandes époques de la France intellectuelle, et cela malgré la lente montée de l’antisémitisme et l’aveuglement incompréhensible des hommes de bonne volonté. Dans la seconde partie de son livre, « A fleur de peau », écrite quarante ans plus tard en 1982, sans rien renier de ce qu’il a aimé, Jean Davray ne peut plus taire une vérité qui l’étouffe : la plaie de l’antisémitisme qu’il a cru cicatrisée dans sa jeunesse, s’est rouverte et se rouvrira à chaque crise, réactionnaire ou révolutionnaire, qui secoue la France. Et l’auteur en arrive à se demander si cet attirant et redoutable pays, qui a été si souvent celui des droits de l’homme, n’est pas aussi celui du racisme viscéral. Livre terrible, violent, plein d’anecdotes cruelles sur des hommes de lettres célèbres, mais aussi d’une grande tendresse à leur égard, La Brûlure, au-delà de l’amertume soufrée de son auteur, interroge sans relâche toute conscience éprise d’honneur.