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"C’était un beau loup joueur sous la jupe des arbres Je m’en souviens car les cerisiers étaient en pleurs Les talus hérissés d’iris la mer étale appelait le soir Et moi je me soutenais avec l’ombre l’air était fou
Et arrogant Le vent décoiffait les chevaux blonds Il n’y avait rien à comprendre c’est bien souvent cela La vie : les pierres tièdes sous la peau des pieds nus L’odeur du pain qui grille jusqu'à l’or cuivré le livre
Qu’on ne voudrait pas finir et soudain c’est la fin Le soleil du matin qui a des rires à tous les rayons Une femme dont la peau luit dans le noir mon Dieu Qu’elle est belle : la rivière s’arrête pour la regarder
C’était pareil c’est la vie qui passe je me souviens De celles dont j’ai touché le visage que sont-elles Devenues le loup s’est enfui peut-être ou on l’a tué Dis que reste-t-il du vent de l’ombre de cet instant"