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La polémique est vaine, si elle consiste à pousser un “coup de gueule” au hasard. Mais les lecteurs du “Canard enchaîné” sont assez fidèles à leur journal et à Morvan Lebesque pour estimer qu’une autre polémique, à la fois ardente et lucide, est plus que jamais nécessaire. Contre la guerre et le racisme, la confusion des mots et des valeurs, les médiocrités de la fausse grandeur et les hypocrisies du dogmatisme, contre tous les Picrochole et tous les Tartuffe, Morvan Lebesque mène un combat qui prend chaque semaine dans “le Canard” la forme d’une chronique hérissée, chaleureuse. Il ne s’agit peut-être pas de mourir de colère, comme disait Léon Bloy. Mais assurément de ne pas mourir sans avoir dénoncé le monde qu’on nous fait. Pour le transformer ? Peut-être... On trouvera ici, non seulement ces pages qui brûlent et dérangent, mais aussi un long texte inédit qui propose une “clé” pour Morvan Lebesque. Qu’est-ce donc qui l’agite si fort, et que réclame-t-il ? La loi. L’application de la loi. Singulier idéal pour un révolté ? Non, quand cette loi est celle pour laquelle meurt Antigone : la vérité éternelle de l’homme en face des systèmes incertains et meurtriers.