Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« J’ai devant la tête des yeux insuffisants. Le mardi 4 novembre 1980, à huit heures moins le quart du soir, je me suis cousu la main. Il faisait froid, je brochais. J’étais en retard... » Ainsi débute "La main cousue", premier des dix-sept récits de ce recueil. Le journalisme, l’édition (Soir d’été, Kré Bobo, André Napoléon Bidoche, Naturel assez tendre), la voiture, le travail ou la maison (L’enculé, Jurys, La maison de carton, Douaumont chocolat), les souvenirs retapissés (Edouardo, Le talon d’Achille), la famille, la guerre et les assassinats (Très peur en juin, Garde tes lunettes Mado, Les cordons du poêle, Quatre pas, Poire, Fleurs ni couronnes) fournissent matière à de l’écrit intime, pour soi-même et qu’on cache, mais brut et de première pression. Cette commodité relève d’impudeurs parfois vives les joies grises du journal intermittent, figuratif, avec des impatiences d’instantané à l’aquarelle. Personnes et lieux sont déguisés, ainsi tout reste lisible au plus grand nombre, sans offenser.