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La doxa dominante décrète que le libéralisme, cette doctrine « anglo-saxonne », ne saurait prospérer dans l’Hexagone. Or, non seulement il y a un libéralisme français, mais il connut son heure de gloire sous la monarchie de Juillet, entre 1830 et 1848. Louis-Philippe est alors au pouvoir et s’entoure d’hommes de grande valeur, dont François Guizot, Casimir Perier, Jacques Laffitte ou encore le duc de Broglie. Ils sont imprégnés de la pensée d’intellectuels tels que Frédéric Bastiat, Alexis de Tocqueville et Jean-Baptiste Say. Sous leur houlette, en dix-huit ans, la France rattrape une partie du retard économique qu’elle avait accumulé sur l’Angleterre. Les grandes banques voient le jour, la sidérurgie, le textile, les activités minières se développent. Le pays se dote d’infrastructures telles que le chemin de fer, qui commence à relier les grandes villes, et les canaux. Ce que Louis-Philippe réalisa, dans une France épuisée par les guerres et les changements de régime, fut le dépassement des clivages politiques pour gouverner au centre et moderniser le pays en impulsant du mouvement tout en préservant sa stabilité. Toute ressemblance avec un personnage contemporain…