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Le 11 mars 1987, au cours d'une table ronde à l'Université de Yaoundé sur « La Littérature politique au Cameroun », le philosophe Hubert Mono-Ndjana surprenait et effrayait son auditoire en lui imposant un néologisme : l'ethnofascisme. Il qualifiait ainsi certains ouvrages politiques dont les auteurs sont tous bamiléké, et considérés par l'orateur comme « les intellectuels organiques de l'ethnie ». « Fascisme qui menace l'État », « technique de mobilisation et finalement tactique pour la conquête du pouvoir », « regroupement autour d'une ethnie pour conquérir le pouvoir », voilà des formules bien inquiétantes, réveillant en nous le souvenir de sombres périodes de l'histoire. Une réflexion s'imposait, qui révélerait les enjeux politiques, idéologiques, philosophiques d'un tel discours. C'est à quoi se livre ici Sindjoun-Pokam.