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“No es nueva, ni exclusivamente europea, la idea de que el bienestar procede de la acumulación de objetos. Más nueva es, en cambio, la idea de que sobre todo procede de ella. En efecto, el resto de formas de progreso son abstractas y, según el pensamiento dominante, ningún progreso tiene valor si no hace más “fácil” la vida cotidiana. La economía del bienestar (ongi-izatea), como es economía, se convierte en la economía del mucho poseer (asko-izatea) (...) A la industria no le interesa que conozcamos las cosas que nos rodean; sin embargo, sí es de su interés asfixiar el espíritu de invención, el arte de la gente. (...) Mientras los utensilios de antes estaban “al alcance de la mano” (es decir, al alcance del conocimiento), ahora vivimos rodeados de máquinas (cosas) que no podemos componer, ni comprender. (...) ¿No sería deseable cierta pobreza, en el sentido que le dio Santo Tomas, de que la pobreza es la falta de lo sobrante (en tanto que miseria sería la falta de lo necesario)? “Quiero un utensilio con el que trabajar; no quiero uno que trabaje en mi lugar. Uno que espolee mi imaginación, no que la niegue o la suplante. Quiero que ciertos sueños y valores sean la base de mi vida, y que las cosas no sean una traba para esos sueños.” “Parece improbable que quienes tienen muchas cosas quieran dejar de disponer de ellas de buena gana; es seguro que, en lugar de sacrificarse ellos un poco, prefieran sacrificar al resto. Por otro lado, parece que también los que tienen pocas cosas están atrapados por el sueño de poseer más”. (Pablo Sastre)