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Claire Jeannerod brosse avec simplicité un drame paysan. D’apparence, rien ne se passe à « La Peine », la ferme où vivent Paul, sa femme et son fils. Les saisons commandent : semailles, fenaison, moissons, labours. Michel travaille en suivant son père : il ébarbe les branches quand celui-ci les a coupées, il débarrasse les champs des pierrailles qui les encombrent : « elles remontent des entrailles de la terre vers la surface et l’écorchure du sillon de la charrue les fait un jour jaillir de leur lit d’argile ». Pourtant le monde est là, troublant le retour monotone des jours : les « parisiens » en résidence secondaire, la fille délurée à la mauvaise réputation, le cousin tellement dégourdi. Aux silences des taciturnes répond la rumeur du village : Michel serait allé avec cette fille… le sida… la visite médicale menaçante… Quand on a tant de mal à parler, comment affronter les bruits qui courent ? Le malheur sera le plus fort. Et la folie tuera plus sûrement que l’improbable maladie.