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Ils étaient, pour la plupart, des enfants du même siècle, maudits avant de devenir prophètes, éternels errants et débauchés impénitents. Alors, faut-il être voyou pour être voyant, comme Rimbaud ? Ils furent presque tous malades ou handicapés. Faut-il donc être sourd comme Beethoven, épileptique comme Dostoïevski, vérolé comme Maupassant, fou comme Van Gogh, pour avoir du génie ? Chez tous, le trait dominant n’était-il pas plutôt une longue souffrance ? Relisons leur correspondance. Dès lors, nous sentirons mieux ce qu’il a fallu de sanglots pour une Nuit de Musset, d’asthme et d’angoisse pour une page de Proust, de rebuffades et d’humiliations pour une toile de Cézanne. C’est en se penchant sur toutes ces âmes meurtries, en auscultant leur souffrance, que le médecin parviendra à la mieux comprendre, pour y trouver peut-être le secret de leur génie.