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À partir d’un fait réel, l’accrochage, en août 44, à Frédille, petit village berrichon de l’Indre, entre une importante colonne allemande remontant du sud-ouest de la France et la compagnie F.T.P 2223, accrochage dont le dénouement fut le massacre de six maquisards... Claude Vinci, né à Frédille où son père était instituteur et créateur de cette compagnie F.T.P., a reconstitué une part de vie (de 1936 à 1944), en grande partie fictive mais plausible, de l’un des six massacrés, Adrien, qui fut pendant quelques mois le grand-frère qu’il n’avait pas. En 1944, Adrien avait dix-sept ans et l’auteur douze. La mort du premier, à cet âge-là et dans ces circonstances, fut pour le second une blessure profonde jamais refermée, à la base de ses engagements de citoyen et d’artiste. En imaginant ce récit, Claude Vinci se livre sans doute, cinquante ans plus tard, à une sorte de libération personnelle, à une tentative de prise de distance vis à vis d’un drame bien trop prégnant. De plus, il veut rendre hommage, en cette période de négation de l’Histoire, à ces jeunes victimes qui “aimaient vivre a en mourir” et à ces familles totalement exterminées par la barbarie nazie. Le récit montre aussi la vie d’avant-guerre, sa dureté, sa diversité, les difficultés d’être jeune et les raisons qui ont amené Adrien à se retrouver dans un maquis dès 1943.