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La vie, la guerre et puis rien est un temoignage essentiel sur le conflit du Vietnam. Oriana Fallaci debarque a Saigon en novembre 1967 comme correspondante du journal l'Europeo. Elle est la seule journaliste italienne a couvrir cette guerre lointaine. Ses articles connaissent un immense succes et sont traduits dans le monde entier. Son courage devient legendaire, son culot et son franc-parler aussi. La guerre, Oriana Fallaci l'a connue enfant quand elle faisait partie du reseau de resistance antifasciste cree par son pere, mais c'est la premiere fois qu'elle enfile le treillis du reporter de guerre qu'elle portera ensuite sur de nombreux autres fronts. A peine rentree du Vietnam en 1968, elle est blessee de trois balles dans le dos pendant le massacre de Tlatelolco a Mexico, dix jours avant l'ouverture des Jeux Olympiques. J'ai compris pourquoi on dit que cette guerre est completement differente de toutes les autres, elle n'a pas un front precis, le front est partout , ecrit-elle. Attentats, represailles, offensives menees en pleine ville comme durant celle du Tet a la fin du mois de janvier 1968, Oriana Fallaci ne se contente pas de raconter les evenements, elle dit aussi son degout profond de cette guerre et de toutes les autres, renvoyant dos a dos ses responsables. Le livre vaut aussi pour la description des rapports de la petite confrerie de journalistes qui tentent de suivre le conflit au plus pres. 70 d'entre eux y laisseront leur vie. Oriana Fallaci est morte en 2006.