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La Violence d’un été est l’histoire d’une lutte et d’un échec. Dans un village du Roussillon s’installe un enseignant, écrivain plus ou moins connu. Il vient là achever des manuscrits et surtout remettre de l’ordre dans ses idées : est-il encore de gauche, et ses comportements de tous les jours sont-ils conformes à ses croyances ? Il devient l’ami de son logeur, Joseph Cantagrill, ex-paysan devenu manœuvre dans un gros centre de tri fruitier de la région : homme droit et fort avec les limites du bon sens et les certitudes de la justice. Mais c’est avec la sœur de Cantagrill, Marie, que le vacancier va se lier, dans une relation où la violence le dispute à la tendresse, où l’harmonie de l’intimité contredit le désaccord des opinions civiles : Marie, elle aussi employée dans une petite entreprise locale, milite passionnément, participe à une occupation d’usine, est arrêtée. Joseph Cantagrill, lui, essaye d’organiser une section syndicale dans son entreprise : il sera battu férocement, le jour de la fête du village, par une mystérieuse équipe d’hommes de main. Le narrateur a été le seul témoin de l’attentat : de son récit dépend que la justice s’exerce, ou que la violence profite du silence. A ce choix, qui finalement montrera si oui ou non ses idées et ses actions s’accordent, il préférera la fuite et l’abstention. C’est le naufrage : le sien, intime ; celui de son amitié avec Joseph, de son amour avec Marie qui ne peut lui pardonner. L’histoire ne se veut ni exemplaire ni symbolique : vraie parce qu’inventée (aurait dit Vian) elle entend exprimer ce désarroi d’une grande partie de notre société, visible dans la fluctuation de ses choix récents et dans ses involutions.