Quand on est enfin parvenu à vivre en sécurité
avec ce qu'il y a de mieux comme femme qui, de surcroît,
fait du poulpe en daube, on pourrait se
contenter d'apprécier.
Et oublier ces nuits où l'on ne pouvait s'empêcher
de partir en quête de ces filles au bout du rouleau,
sous prétexte qu'elles rappelaient Sophie Roche,
celle qui apparaissait souvent dans nos crises et
qu'on avait même cru reconnaître, parfois, ici ou là.
On aurait peut-être fini par aimer le poulpe en
daube, s'y tenir, en véritable acrobate, si, un jour,
une de ces filles n'était pas revenue frapper à notre
porte.