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L'air de Paris n’a pas seulement cette odeur de parfum de luxe des beaux quartiers. Il sent aussi la sueur et l’effort des hommes qui travaillent. André Ménard est de ceux-là. Manœuvre à la gare de Lyon, aigri par la médiocrité, il rêve d’un monde luxueux et brillant duquel tout le sépare. Dédé a fait de la boxe au régiment. À l’hôpital, où un de ses camarades vient de mourir, il rencontre Victor Le Garrec, manager et propriétaire d’une petite salle, du côté de Grenelle. Les deux hommes sympathisent : Victor emmène Dédé chez lui, l’héberge, le nourrit, lui donne sa chance, non sans déclencher la mauvaise humeur de sa femme, Blanche, qui rêve d’une tranquille petite vie bourgeoise, sur la Côte... Mais lui est sûr d’avoir découvert « son » champion et le soumet à un entraînement intensif qui devient vite payant. Le soir du grand combat arrive. Au Central, Dédé affronte Pietro Manzini. Blanche, dans la salle, ricane et cette hostilité sourde fait perdre à Dédé ses moyens. Mais, soudain, il reprend espoir. Il vient d’apercevoir Corinne, jolie fille, entretenue, rencontrée un soir dans un bistrot des Halles en compagnie de fêtards. Survolté par cette présence, Dédé culbute son adversaire et triomphe. Victor exulte, car la victoire de son poulain est aussi la sienne sur Blanche. Mais, au dîner organisé en l’honneur de Dédé, une place reste vacante : celle du héros, et Blanche ne manque pas de flétrir l’ingrat, qui a fui au soir de sa première victoire. Dédé a fui, en effet, fui vers l’amour. Il est parti retrouver Corinne dans un appartement au bric-à-brac luxueux. Pourtant, Corinne ne pourra croire à la viabilité d’un amour aussi démesuré et, un jour, elle partira... Et Dédé, meurtri, désespéré, retrouvera Victor. Et, avec lui, l’amitié, les copains, la salle. Le cycle sera bouclé...