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Ce roman est passage, d’une langue dans l’autre, d’un pays dans l’autre, d’une œuvre invisible, celle du metteur en scène Vsevolod Meyerhold, aux traces de sa présence, le long des cicatrices qui font réapparaître les corps là où ils ont disparu, en passant par les beaux fruits du langage laissés sur la route pour rouvrir la voie. L’Amour des trois oranges est un mot de passe, pris par Meyerhold au théâtre de foire vénitien, devenu le titre de la revue qui déclarait l’urgence d’y faire retour. Prokofiev ensuite s’inscrivit dans cette continuité qui poursuit ici son cours, au lieu même de la disparition de Meyerhold, dans le passage des mots vers d’autres mots qui traversent l’image de leur possible traduction pour saisir l’inavouable de ce qu’ils taisent encore.