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'Simon Abramovitch ne ferait pas de vieux os à Valenciennes. Il remettrait le paquet à la famille – un poème et une lettre, autant dire pas grand-chose – et puis il rentrerait chez lui. Six ans déjà qu'il devait s'en acquitter. Mais il faut dire que ses affaires dans le commerce de chaussures ne lui avaient guère laissé de répit. C'était au camp de travail de Klein Mangersdorf que Simon avait vu Pierre Weill pour la dernière fois et c'était là qu'il avait fait le serment de restituer à ses proches ses derniers mots. Dans cette ville ouvrière encore abîmée par la guerre, Simon ne s'imaginait pas tomber sur une famille bourgeoise. Artiste, dans son idée, ça n'avait pas le sou. Et là-bas, rien ne distinguait le vendeur du poète. Surtout, il ne s'attendait pas à découvrir dans l'enveloppe de Pierre un message d'une toute autre nature.' Clélia Anfray.