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Ils ne veulent Plus s’en aller, ils s’accrochent à leur fauteuil, ils ne savent pas partir à temps, ils ont le démon du pouvoir. Pendant ce temps, chacun répète les premiers mots du héros de Samuel Beckett dans « Fin de partie » : « Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. » Mais non. Leur règne trop long s’éternise. C’est le crépuscule des Princes. Pourquoi Napoléon III n’a-t-il pas su démissionner à temps, alors qu’il souffrait comme un damné ? Comment Lénine s’est-il laissé extorquer le pouvoir ? Que faisait donc Churchill encore à la tête de son pays à Plus de quatre-vingts ans au lieu de s’en aller peindre ? Atteint d’un mal inexorable, Pompidou n’aurait-il pas dû laisser la Place ? Pour quelle raison Boumédiène a-t-il été prolongé abusivement à la tête du pouvoir algérien ? Et qu’est-ce qui empêche aujourd’hui Mitterrand de se retirer à Latché ? Il appartient peut-être au médecin de répondre à toutes ces interrogations, de chercher dans l’enfance de ces chefs d’État la naissance d’un amour de soi pathologique, et dans leur arrivée au pouvoir la montée d’une ambition forcenée. Mais surtout de fouiller dans leur entourage et d’examiner leur état de santé pour tenter de découvrir ce qui a bien pu les déstabiliser et les accrocher au pouvoir.