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Pourquoi Santuzza évite-t-elle depuis trois mois son mari, Martin ? Il l’ignore. Et puis, il est tellement pris par la politique qu’il s’en désintéresse. Toutefois, un matin, voyant sa femme nue, de dos, dans le baquet où elle se lave, il a le sentiment qu’elle aime quelqu’un d’autre. Là-dessus, Santuzza, fidèle à un vœu ancien, va se joindre à une procession de la Madone. Et Martin, resté seul, passera six heures, le temps de ce roman, à se saouler et à s’abolir dans un mouvement immobile qui lui fera revivre les dix dernières années, depuis sa rencontre avec Santuzza à Naples jusqu’à cet instant fatal où, à travers l’eau, il eut la révélation de son infortune. Roman-poème, roman de la mémoire, Le cri dans le désert est aussi un hymne perpétuel à l’amour. Ici, c’est la Médina, ses fêtes, ses querelles ; là, Tunis la pouilleuse et. la fascinante ; ici et là ce sont des portraits qui semblent tout droit venus de Goya. Et cela bouge, et vibre longuement, puissamment, en larges mouvements de foule, et, sous le vacarme de la joie ou du deuil, de la foi ou de la licence, Albert Deza, plus maître que jamais de son art, nous fait entendre, superbe et tragique, le grand silence de ceux qui viennent de rencontrer leur destin. A cet immense emportement, il fallait une prose somptueuse. Ce quatrième roman, écrit d’un seul souffle, naît, se déploie, explose au rythme d’une syntaxe sans cesse renouvelée. Pendant trois cents grandes pages, Albert Deza réussit ce miracle de maintenir son lecteur en état de passion.