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Ellisbourg : ce n’est, au début de cette étrange chronique, que le nom d’une métropole au bord de la mer. Voici d’abord quelques grèves, quelques mystères, quelques rumeurs, quelques usines qui se ferment. Puis une souterraine contagion. Puis l’épidémie : on se met à chanter, à rire, à danser au coin des rues. Et nous n’en sommes alors qu’au commencement d’une longue folie qui, bientôt, comme un cyclone, descendra sur les cinq continents. Quel désastre, ou quelle naissance, prépare cette fête gigantesque, annonciatrice de fin des temps ? Pour l’auteur de ce livre inclassable où se mêlent sans cesse le symbolique et l’allusif, le vécu et le rêvé, il ne s’en fallait que d’une mince hypothèse pour bâtir toute cette histoire : car notre condition sursitaire est déjà réalisée, et la pire des utopies est présente dans notre conscience, menace permanente et palpable. La kermesse mondiale qui se déchaîne sur Ellisbourg prend alors la forme de la suprême libération. Il est peut-être trop tard. Mais ce livre tout entier est aussi une sorte de question. Et comme à la clôture de tout récit, il appartiendra au lecteur du « Grand soir » d’y ajouter une suite s’il en refuse la fin.