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Le 5 janvier 1984, le commissaire du VIIIe arrondissement de Paris, le plus important de France, est incarcéré à la Santé, sans avoir pu obtenir d’être confronté avec le brigadier qui l’accuse de lui avoir donné l’ordre d’assurer la protection de certains établissements de nuit. Le 28 mars 1984, le commissaire Leclair est remis en liberté. Le 4 décembre 1985, il est condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et 63 000 francs d’amende. Le 14 mai 1986, en appel, l’amende est supprimée et la peine avec sursis ramenée à 15 mois pour qu’il puisse bénéficier de la prochaine amnistie. Mais le ministère de l’Intérieur lui accorde par la suite ses droits à pension au grade de commissaire divisionnaire, le président de la République ne l’a jamais radié de l’Ordre national du mérite et le 8 avril 1987 la cour d’appel a rendu sa virginité à son casier judiciaire lui redonnant ainsi tous ses droits. C’est cette ténébreuse – et ô combien édifiante – affaire que Rémi Leclair a narrée par le menu ainsi que son exceptionnelle carrière qui l’a conduit du poste de gardien de la paix à celui de patron du commissariat du Grand Palais dont dépend, entre tant d’autres tâches, la sécurité extérieure du palais de l’Élysée.