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L’amiral Philippon est également connu sous le nom de guerre d’Hilarion, que lui donna — en 1941 — le colonel Rémy au cours de la lutte contre les navires de bataille allemands. Le voici second d’un sous-marin, mais réduit par l’Occupation allemande à l’état de jardinier, et se livrant à Brest à cet espionnage caractérisé au profit de la France Libre, qu’il a raconté dans « S. & G. » et « Le blocus du "Scharnhorst" et du "Gneisenau" ». Officier sur un croiseur, puis exploitant agricole dans le Sud-Ouest, il reprend la mer après la Libération, exerce diverses fonctions et commandements, mais prend sa retraite en 1959, pour marquer sa désapprobation d’une mesure qui vise la Marine. Stagiaire au Crédit Lyonnais, il est convoqué, tancé, et réintégré dans la Marine par le général de Gaulle qui, pour le « dédouaner », le prend à son état-major particulier. Le voilà reparti, malgré son indépendance de caractère, vers des commandements importants : porte-avions, aviation embarquée. Sous-chef d’état-major de la Marine, il est nommé par le général de Gaulle chef de son état-major particulier à l’époque des grands voyages et de la politique d’indépendance. Il termine sa carrière à la tête de l’escadre de la Méditerranée. Il a donc fréquenté les « Grands » mais « aime s’asseoir au bord d’un chemin pour voir passer un bœuf ». C’est là le fond de son ouvrage. Les souvenirs de croisière et de guerre y servent de support à une philosophie de la vie à bord, qui explique la familiarité des marins envers les choses et les hommes, fussent-ils des Grands. On y trouve la défense de ce particularisme des marins, qui est celui de la mer. La jeunesse actuelle, en parcourant quarante ans d’histoire de la Marine nationale — marquée par cinq guerres, trouvera dans « Le métier de la mer » et dans cette philosophie, des réflexions de modération et de tolérance politique.