(...) Christiane Levêque écrit ce que nous n'avons pu voir, nous qui n'étions pas au Mokafé, mais peut-être aussi ce que nous ne voyons pas, quand nous sommes aveugles, ce que nous n'entendons pas, quand nous sommes sourds, ce qui nous échappe, quand nous ne regardons pas le monde autour de nous, ces destins côtoyés et ignorés, ces reflets de nous que sont les autres, dans le miroir de l'humanité.