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Pénétrez dans l'ombre du château d’Ilbarritz et découvrez sa sombre histoire !
Au sommet de la colline de Handia, entre Bidart et Biarritz, trône le mystérieux château d’Ilbarritz construit à la fin du XIXe siècle par le richissime baron Albert de l’Espée. Cette surprenante demeure et les multiples bâtisses qui couvraient le relief constituaient une véritable cité interdite sur un domaine de plus de 60 ha. Misanthrope et pervers narcissique, le propriétaire des lieux a fait l’objet des rumeurs les plus folles et les plus inquiétantes au point d’être comparé à Barbe bleue. Depuis les années 1920, de la cité interdite d’Ilbarritz il ne reste plus que le château qui a connu bien des vicissitudes, avec les heures sombres de la Seconde Guerre mondiale et son cortège de drames. Dans les années 1950, il a été squatté par une bande de marginaux cosmopolites impliqués dans les meurtres d’un officier américain de l’US Air Force et de sa maîtresse française. Dans un contexte de guerre froide entre l’URSS et les États-Unis, l’intervention d’un espion soviétique et de son « arme fatale » était de nature à aggraver les tensions déjà vives entre les deux Blocs.
Suivez, le long de ce récit historique passionnant et empli de mystères, les destins de ceux qui occupèrent le château d'Ilbarritz.
EXTRAIT
Elle a appris que l’un des survivants du terrible naufrage vécu en direct est un concitoyen hongrois, natif de Fiume où a été construit le Padosa. Elle rapporte aussi au baron que les marins auraient été trompés dans leur périlleuse manœuvre d’approche de la côte, par un feu qui s’est avéré n’être ni celui de Socoa ni celui de Biarritz. Curieusement, Albert de l’Espée, décidément bien libéral, propose à sa compagne d’aller rencontrer son compatriote survivant, afin qu’elle fasse sa connaissance et qu’il lui raconte le naufrage tel qu’il l’a vécu. Le baron de l’Espée aimerait bien naviguer à bord d’un voilier, mais il y a renoncé par peur de la mer. Cependant, il a une réelle admiration pour les marins. Hier soir, alors qu’un drame se nouait devant la Grande plage de Biarritz, le maître de la cité interdite d’Ilbarritz a décidé d’affronter, à sa façon, les éléments déchaînés en faisant donner de la voix à son orgue instrumental pour livrer un formidable combat symphonique. En ouvrant les fenêtres donnant sur l’océan, il a cru apercevoir des lumières au large. Intrigué, il est monté au belvédère du château. Il a allumé l’énorme projecteur qu’il n’utilise plus que pour s’assurer que des intrus ne tentent pas de pénétrer sur son domaine par la plage d’Ilbarritz, en particulier lorsque ses chiens aboient. Il a balayé la côte et le large avec le puissant faisceau lumineux qu’il a laissé braqué vers le large, ayant décelé de faibles lumières en mer. Puis, il est allé chercher sa lunette astronomique d’observation. Il a alors compris qu’un bateau était en perdition. Il a pu suivre en partie les péripéties du naufrage et les opérations de secours. Par contre, sur le moment, il n’a pas réalisé qu’une fois encore son projecteur a pu être la cause d’un accident. Ce sont les informations fournies par Lisa qui lui laisse à penser qu’il peut avoir une part responsabilité dans ce tragique naufrage.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Christian Dureau, dit Élie Durel, est né à Saumur (Maine-et-Loire) en 1946. Il est diplômé de l’École supérieure de l’armement et du Conservatoire national des arts et métiers. Passionné d’histoire et attaché au patrimoine de la France, Élie Durel axe son travail d’écrivain vers ces deux domaines. Il est ainsi l’auteur d’ouvrages à caractère historique et de beaux livres. Il est distingué de l’Ordre national du mérite.