Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Natif de l’Abitibi, le narrateur du Père d’Usman a abandonné ses études à Montréal et se retrouve, en novembre 1980, au royaume de la Dame de Fer. Séduit par la grisaille de Londres, par sa lumière si différente de celle de l’Abitibi, il souhaite s’y installer. En quête d’un boulot, il rencontre Usman, qui communique avec ses mains ou en écrivant sur des bouts de papier. Après le travail, ils se retrouvent au Chaos, un bar punk dont la faune semble échappée d’un cirque. Dans cet univers marginal, la fiction s’affranchit du vrai et du faux, se colore, se contorsionne, devient singulière et énigmatique. Sur le terrain fertile de l’imaginaire, réminiscences et réel échangent des images. La prose de Pierre Yergeau, stylisée, minimaliste, voire elliptique quand elle devient poème, trouve son contrepoint dans sa richesse d’évocation. Comme si l’écriture ne donnait à lire qu’une infime part de l’histoire pour que l’image du père transparaisse en filigrane.