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Comment se peut-il que le portrait de Mao ait surgi dans le Cour de la Sorbonne, c’est-à-dire que, pour la première fois dans l’Histoire, une partie de l’élite du monde libre puise son inspiration dans une révolte contre la culture déchaînée à Pékin ? Comment se peut-il que, pour la première fois dans l’Histoire, par les œuvres de Pékin, la guérilla urbaine et tout son cortège de pré-terreur fassent leur entrée dans les villes les plus policées d’Occident ? Comment se peut-il que, pour la première fois dans l’Histoire, une fourmilière d’agents aux yeux bridés sillonne et angoisse les continents les plus lointains ? Pour la première fois dans la littérature politique, Suzanne Labin, dans son dernier ouvrage : Le petit livre rouge arme de guerre, apporte une réponse complète à ces questions et rend compte d’un phénomène qui est peut-être l’un des plus étonnants d’une époque pourtant fertile en surprises. L’auteur, spécialiste internationalement réputée du communisme démonte avec mæstria et décrit avec brio les fils de l’immense toile qui a permis à Mao Tsé-toung, le “Pharaon-Émeutier”, de déchaîner ou d’attiser des troubles dans tous les coins du monde en recourant à “l’hallucination intellectuelle de la révolution totale”, à l’usage diabolique des ambassades, des restaurants, des agences de presse comme véhicules de sa subversion, à une fantastique réseau d’“écoles de la violence”. L’auteur jette une vive lumière sur les traits qui distinguent l’entreprise chinoise de sa devancière soviétique : le trafic de la drogue, le rôle des écoliers si dramatiquement illustré en mai 1968 à Paris, le recours, comme nouvelle vague révolutionnaire, aux jouvenceaux physiquement disponibles, socialement irresponsables intellectuellement grisés, le caractère professionnel et téléguidé — avoué par Che Guevara — de la nouvelle guérilla qui s’étend désormais des brousses et des montagnes aux villes les plus modernes et dont Suzanne Labin offre la première analyse exhaustive.