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Vers 1800, à la fin de ce siècle des Lumières qui a ouvert son goût à toutes les littératures, le vieux dogme millénaire du beau singulier, universel, définissable, et aussi absolu que le Bien et le Vrai, s’est effondré. Il a été remplacé — progressivement — par l’idée contraire d’un beau relatif, variable et, pour tout dire, pluriel. Cette révolution est, sans doute, la plus importante de l’histoire de la théorie littéraire, parce que la question du beau singulier — ou pluriel — est un préalable à toute réflexion esthétique. Pourtant, elle n’a jamais été étudiée. Bien plus, une partie de la critique n’en a pas encore pris clairement conscience, et se comporte comme si la question de la beauté était un tabou, dont il vaut mieux ne pas parler. Le présent ouvrage étudie la genèse du relativisme littéraire au XVIIIe siècle, dans trois des principaux pays de l’Europe, en montrant comment le concept d’un beau singulier est, peu à peu, devenu impossible à penser. Il montre comment la révolution esthétique du XIXe siècle se prépare, en profondeur, dans presque tous les aspects de la pensée théorique, et quelles sont les péripéties de cette aventure intellectuelle.