"Avec ce nouveau recueil de poésie, « Le prince des vasières » suivi de « Neiges tardives », Bernard Dilasser cisèle encore un peu plus une oeuvre originale. Quelle rupture d'inspiration, pourtant, avec ses précédents récits, écrits dans une encre flamboyante ! Les poèmes poursuivent ici, d'une page à l'autre, une sorte de méditation ininterrompue. Étranges poèmes aux allures de haïkus que leur gravité rend si simples et mystiques à la fois. La raison rend les armes à l'imagination. D'où ce désintéressement à soi, cette désaccoutumance, cette sécession qui caractérisent l'oeuvre poétique." Le Télégramme