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« L’exil, on le balade toujours au fond de soi. Quelquefois, nous croyons le lire dans les yeux des autres. Ce n’est pas toujours du racisme ou de la haine qu’on y peut déceler, mais une lueur indéfinissable, qui semble nous murmurer doucement : “Non, tu n’es pas d’ici ; tu as l’air gentil comme ça, et nous aussi nous voulons paraître gentils, polis ; on fait semblant de rien, mais dans le fond, même si nous t’acceptons, tu n’es pas d’ici.” » « Je ne me définis pas comme immigré ; je suis d’ici et de tous mes là-bas. Une obsession : les racines “doubles”, les miennes, celles des autres ; comment parler de “ça” ? Comment écrire à propos de “ça” ? Est-ce donc si difficile ? Oui… j’essaie ; se définir, se redéfinir sans cesse ; toutes mes racines, mes strates ; que de stratagèmes pour n’en perdre aucune ! » « Écrit dans un style qui évolue avec l’âge du narrateur, le livre […] évoque avec justesse et retenue le cheminement qui le mène à la découverte de lui-même […] Ses nombreuses références à l’Histoire, à Bruxelles, à une Hongrie désillusionnée et sceptique aux portes de l’Europe apportent au récit cette touche de vérité qui en assure le plaisir et la crédibilité. » (M.V., La libre Belgique.)
Né à Budapest en 1951, de père hongrois et de mère française Yves CALDOR (Yves Káldor) est né en 1951 à Budapest ; il a vécu sa prime enfance – bilingue – en Hongrie et, à partir de 1956, en France. À l’adolescence, suite à la séparation de ses parents et au remariage de sa mère, il découvre la Belgique (le Hainaut) puis Bruxelles (où il vivra plusieurs années) avant de se réinstaller en Wallonie ; il affirme volontiers qu’il se sent Belge, Bruxellois et Wallon, tout en gardant vivantes en lui ses souches magyares et françaises. « Le train des enfants », roman autobiographique, est paru pour la première fois aux éditions Bernard Gilson en 2001 après un premier roman remarqué (« L’enfant de la Puszta, prix Alex Pasquier). La disparition de la maison d’édition ne lui permettra malheureusement pas d’obtenir la notoriété qu’il méritait. Il reparaît aujourd’hui dans une édition revue et augmentée.