«Enroulé dans mes bandes, dans le refuge
des sacs, j'étais chez moi. C'était là que je
devais être puisque c'était là qu'on mettait
les déchets. J'avais finalement trouvé ma
destination naturelle. Ma chair macérait
dans le chaud et l'humide mais au moins
les autres pouvaient respirer tranquille.
Emballé dans mes sacs, je ne contaminais
plus l'atmosphère, le monde était
propre.»