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Hitler a toujours pensé que seul l’Est pouvait lui fournir les vastes territoires dont il avait besoin pour mettre en œuvre sa politique d’“espace vital”. Mais, pour Hitler, envahir la Russie, cela ne veut pas dire seulement bousculer et détruire l’Armée Rouge, cela veut dire effacer, sur l’ensemble du territoire conquis, toute résistance présente et future au National-Socialisme. Seront exterminés tous les fonctionnaires politiques, les Juifs, les Tsiganes, les Asiates inférieurs, tous ceux qui pourraient être une charge pour les vainqueurs. Quant aux autres, les survivants, ils seront du matériel d’esclavage au service des colons ou de l’industrie du Reich. Paradoxalement, pour diriger la nouvelle “colonie”, le Führer choisit Alfred Rosenberg, l’apôtre de la renaissance des nationalismes qui composent l’U.R.S.S. Au-dessous de lui, les “assassins” d’Heinrich Himmler se chargeront des basses besognes. Rosenberg pour l’Union soviétique, Frank pour la Pologne, accepteront, en protestant du bout des lèvres, cette position impossible, mais ils l’accepteront en connaissant parfaitement les règles du jeu et ses conséquences criminelles. Ils les couvriront par devoir, par fidélité à Hitler et à son idéologie. Keitel, maréchal et haut responsable du commandement militaire, adoptera la même attitude. Et quand il prendra conscience de sa réelle culpabilité, Gœring, de sa cellule de Nüremberg, lui ordonnera de se taire. Et il se taira. Quant à Paulus, il aurait pu, sans “tenir jusqu’à la mort”, dégager une grande partie de ses forces de Stalingrad. Cette faiblesse de Rosenberg, Frank, Keitel, Paulus et tant d’autres, explique l’acceptation du crime permanent par un personnel politique ou militaire qui s’était livré, mains liées, à son dictateur. Un dossier indispensable pour mieux comprendre la réalité de l’horreur de la guerre dans les territoires d’Europe de l’Est.