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Jacques Robichon habite le Midi de la France depuis trente-cinq ans : il y a situé l'histoire haletante, les paysages inoubliables, et les cent cinquante-deux protagonistes de ce livre. Connu surtout comme l'historien du « Débarquement de Provence », de « Jour J en Afrique », de « L'Affaire de Berlin », des « Grands Dossiers du IIIe Reich », il revient au roman - après « La mise à mort », « Poussière de l'été », « Les faubourgs de la ville », « Les flammes de la nuit » - affirmant une stupéfiante maîtrise dans l'art du suspense, autant que le rare talent d'un peintre d'atmosphère, distillant, goutte à goutte, l'angoisse d'un film d'Alfred Hitchcock, dans ce « western policier » digne d'un Clouzot ou d'un Fritz Lang. « Les cartes du Diable » est la reconstitution, d'après les documents originaux, d'événements authentiques, auxquels a été donnée la forme de roman, pour montrer ce qui se passa dans une petite ville, à partir du moment où elle devint le siège et la proie d'une série d'attentats homicides, aussi furieusement exécutés, que désespérément incompréhensibles - jusqu'à ce que le secret de ces meurtres cessât définitivement d'en être un… Un prodigieux pouvoir d'envoûtement, la singularité de l'énigme criminelle jusqu'au coup de théâtre final, une petite cité écrasée de soleil et prisonnière de sa peur : une dimension que le roman policier acquiert très rarement.