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En 1099, Godefroy de Bouillon et ses Croisés s’emparaient de Jérusalem. Depuis 1070, existait dans la ville un hospice, fondé par des marchands d’Amalfi, sous l’invocation de Saint Jean-Baptiste. Les Chrétiens de Palestine accueillaient et soignaient des Pèlerins venant visiter ces lieux saints, mais aussi des Musulmans et des Juifs. Telles furent les lointaines et modestes origines de l’Ordre souverain militaire et hospitalier de Saint-Jean de Jérusalem, de Rhodes et de Malte. Aujourd’hui, qui ne connaît — au moins de nom — l’Ordre de Malte ? Mais sait-on que cette étrange institution, unique au monde, étend toujours son influence ? Si l’île de Malte n’appartient plus aux Chevaliers, le prince et Grand Maître de cet ordre illustre reste le chef... d’une république internationale et souveraine. Paradoxe ou réalité ? Armel de Wismes estime qu’une tradition chevaleresque authentique est — plus que jamais — un élément important de civilisation. La longue histoire de l’Ordre de Malte, fertile en péripéties dramatiques, nous en fournit ici la preuve. C’est d’abord en Terre Sainte, à Jérusalem et dans les fabuleux châteaux de Palestine, qu’il faut chercher les premières images d’une sorte de grand film d’aventures, qui se déroule ensuite à Chypre, à Rhodes, à Malte, à Rome et, aujourd’hui, enfin, un peu partout dans le monde. Après la création du royaume latin, les Hospitaliers, comme les Templiers, s’érigèrent en ordre militaire face à l’Islam. À la chute de l’empire latin d’Orient, les îles de Rhodes et de Malte devinrent leurs forteresses, d’où ils dominèrent superbement la Méditerranée. Chevaliers marins, leur lutte inégale contre d’imposantes flottes ottomanes — et contre les Pirates barbaresques — fit l’admiration de toute l’Europe. Ce que l’on sait moins, c’est le rôle joué par l’Ordre dans ses hôpitaux jadis célèbres. En temps de paix comme en temps de guerre, ces Joannites, fidèles à leur vocation primitive, accueillirent toujours les Pèlerins, les malades, les blessés et toutes les victimes de la force brutale, sans distinction de race ni de religion.