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18 juin 1940. À l’heure même où le général de Gaulle lance de Londres son premier appel à la radio, un régiment de réserve, le 227e d’Infanterie, dans le fracas d’un formidable bombardement, s’arc-boute pour briser le choc d’une division allemande qui a reçu l’ordre de s’emparer de Toul-Toul, qu’il a pour mission, lui, de défendre. La veille, ce régiment qui retraitait au milieu de la débâcle, a appris coup sur coup que la France est plus qu’à moitié envahie, que l’Armée de l’Est à laquelle il appartient est encerclée, que sa retraite est coupée et l’armistice demandé. Cependant, il va se battre pendant cinq jours, et ses derniers éléments, réduits à quelques centaines d’hommes, ne cesseront le feu que sur ordre, le 22 juin, croyant avoir mérité de bénéficier des conditions de l’armistice... Seule l’Armée allemande lui a rendu hommage. Pierre Ordioni, qui a participé à ces combats comme lieutenant de réserve, nous les fait vivre au milieu de ces Bourguignons, Berrichons et Parisiens, encadrés d’instituteurs, de prêtres, d’aristocrates, de négociants en vins, d’officiers d’active : ce monde encore solide qu’on appelait alors la Nation armée. Une page méconnue de la résistance militaire au cours de la campagne de juin 40.