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Comme dans un album de famille les personnages des nouvelles d’Anne-Marie Le Mut nous paraissent étrangement intimes. Nous marchons dans un pays connu sur les sentiers d’enfance de Morana, de Tanguy, d’Olivier, de Paul et de Iole. Tante Gaïdig nous la reconnaissons, c’est notre sage aïeule, si simple et pourtant, comme La Bertrande, comme Maria, meurtrie au plus profond de son cœur. La vie et la mort sans cesse mêlées forment un canevas où cette mystérieuse frontière vers l’au-delà n’existe plus. Un bouquet de compagnons rouges, un adagio, une forêt de bonzaï, un bateau en bouteille, un tableau inachevé, le médaillon d’un vieil Indien, un chien roux, trois pétales de camélia, un visage sculpté au flanc d’une galère, tous ces jalons sur les routes intemporelles de la vie nous ramènent à nos vieux mythes, à ces temps lointains où la mort signait son passage. Entre les pages des douces amères, entre les brises de mer et les chants de la terre, se glissent aussi, furtifs, Iota le chat sourd, La Rousse énigmatique persane, Eider le cheval gris, tandis que sur leur chemin initiatique Gwenn, perdue dans son pays glacé, Guillaume sur le « Camino » de Compostelle, découvrent « la connaissance ». Une petite touche d’humour dans les amours tumultueuses de Marie-Alice et dans les naïves dévotions des gamines du pays de saint Tugdual. Et quand se referme l’album de famille un parfum doux-amer, longuement, flotte encore dans notre cœur.