Je ne peux plus écrire debout, il va falloir ramper, choir, tomber, s'écrouler. Perdre sa maison d'enfance retorse. Je pars. Mon corps, mon coeur, loin d'entrer en résistance, vont s'abîmer à nouveau, non pas s'abîmer à ne plus se mouvoir mais à fondre sa respiration dans la glaise, la boue, le souffle rauque du dessous, de la bestiole, de l'animal. Qui m'accompagne ?