Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
« Il y a des morts intérieures pires que des morts physiques », que ce soit la fin d’une espérance, le reniement d’un idéal ou la défaite d’une volonté. C’est contre une joie inaccessible, l’amour de Philippe rencontré trop tard et d’avance condamné, que lutte Myriam ; mariée à André, elle n’est pas heureuse. Au bout de sept ans de mariage, elle refuse d’admettre que leur union est un échec. Ils ont en commun les difficultés partagées, la pauvreté, la lutte quotidienne, le miracle d’une tendresse que rien, semble-t-il, ne pourrait ternir. Mais André vit selon l’intelligence, Myriam selon le cœur. De toutes ses forces vives, elle souhaite un enfant. André refuse, dans un monde sans. Dieu, de participer à la création humaine. Un mur de silence se dresse entre les deux époux. Le même mur sépare Philippe et Catherine, autre couple malheureux. Philippe dirige une usine au Maroc, au temps tragique des premiers assassinats. Catherine pousse son mari à regagner la France. Elle repartira seule. En le quittant, elle saura que c’est pour toujours. Catherine solitaire dans une maison d’Auvergne, André solitaire parmi ses livres, Myriam face à face avec son désir d’enfanter, Philippe face à face avec les drames de ses employés arabes... Quatre existences, combien d’échecs ? Ecartelée entre sa fidélité et sa soif de vivre, Myriam s’interdit de penser à Philippe, comme celui-ci se l’interdisait par pitié pour Catherine. Pourtant, à travers les rêves prémonitoires et les visions éphémères, ils n’ont cessé de tendre l’un vers l’autre. Lorsqu’ils en prennent conscience, il est trop tard pour nier cette vérité. Ils se rejoindront au désert et Myriam vivra ce qu’elle a tant rêvé. Cette brève rencontre pourtant sera bien près de causer sa mort. Dans ce roman, comme dans LA TERRE EST TENDRE, Martine Cadieu affirme le sens aigu qu’elle a d’un réel où l’acte et le rêve se conditionnent et se complètent avec une exigence égale. Thèse sous-jacente qui ne s’exprime jamais que par les moyens propres au roman, vérité des situations, force des mots et des images.